Bilan assisté en bio résonance

Lorsqu’on travaille en bio résonance, ce que nous faisons pour commencer est un Bilan de terrain. Mais qu’est-donc ?

DIFFERENCE ENTRE LE BILAN DE TERRAIN NATUROPATHIQUE ET LE DIAGNOSTIC ALLOPATHIQUE :

Dans un diagnostic allopathique, on trouve deux étapes importantes : d’abord, il s’agit de l’anamnèse (donc des questions qui vont être posées au patient pour prendre connaissance de l’historique de la maladie et voir son évolution). En deuxième partie, il va y avoir un examen physique, qui va compléter l’idée que le médecin s’est déjà fait de la maladie. Ici, on retrouvera les prises des constantes vitales, l’inspection générale, la palpation, les tests des réflexes et d’autres examens s’il a lieu.

Cette démarche est tournée vers la recherche de la maladie et l’objectif thérapeutique est de la supprimer. Ce qui signifie le plus souvent : de supprimer les symptômes, en agissant à la place de l’organisme avec des remèdes substitutifs ou suppressifs (ANTI-inflammatoire/-biotiques/-douleur,…) C’est la maladie qui détermine le remède. Bien sûr, il n’est aucunement question de dénigrer l’utilité et l’efficacité de cette démarche, mais il s’agit plutôt de constater qu’il n’y a pas une vraie prévention primaire, que des effets secondaires sont à rapporter.

Les démarches alternatives s’intéressent d’abord au terrain de l’individu.

QU’EST-CE-QUE LE TERRAIN ?

La maladie n’est pas perçue comme quelque chose venant de l’extérieur, mais elle est considérée comme étant l’aboutissement d’une défaillance du processus d’auto-régulation, qui résulte de la dégradation du terrain. Si on se considère comme étant un arbre, ce dernier pousse sur différents sols dans lesquels il arrive à puiser, ou non, ce qui lui est nécessaire pour croître. Pour un humain, c’est pareil. Notre organisme est plus ou moins pollué selon ce qui entre et ce qui sort, il va donc puiser les molécules indispensables à la vie parmi tout ce qui le traverse. Lorsque tout va pour le mieux, que les apports de nutriments, d’oxygène, etc. sont optimaux, le terrain est équilibré. Lorsqu’au contraire, il y a trop ou pas assez d’apports, que ceux-ci sont d’une qualité moindre, il commence à y avoir ce qu’on appelle une dégradation du terrain (acidose-métabolique, inflammation de bas grade, etc)

COMMENT VA FONCTIONNER UN BILAN DE TERRAIN ?

En prenant connaissance des différentes données médicales qu’il y a eu précédemment (s’il y en a), par une anamnèse, la première recherche qui sera effectuée sera d’évaluer le degré de vitalité de la personne (donc les capacités de l’organisme à réagir, à mobiliser de l’énergie, pour induire un processus d’auto-réparation). Pour ce faire, il existe deux techniques :

- « scanner » les organes (fonction intégrée à la plupart des appareils de bio résonance)

- La mesure (organométrique ou radiesthésique) des méridiens et chakras majeurs.

Cela révèlera non seulement un niveau énergétique, mais aussi une localisation (anatomie physique et subtile) où l’énergie va être soit en excès, soit en insuffisance.

QU’EST-CE QUE CELA SIGNIFIE : AVOIR UN EXCES OU UN MANQUE D’ENERGIE?

S’il y a un excès ou un manque, cela signifie qu’il y a un obstacle à la libre circulation de l’énergie. Et qu’est-ce que cet obstacle ? Ici, on arrive à la notion de « champ perturbateur ». Ce dernier est le symbole d’une toxine, d’une bactérie, de métaux lourds, d’’un allergène, etc. En bref, il symbolise tout ce que notre corps n’est pas en mesure d’éliminer lui-même et qui crée des problèmes à notre organisme, physique ou psychique.

QUE VA DONC PERMETTRE LE BILAN DE TERRAIN ?

Il va nous aider à mettre en place un protocole de recherche de ces champs perturbateurs et de leurs localisations, en vue de les « déprogrammer ».

Mélanie Brugger, naturopathe

Sources:

“Médecine traditionnelle Européenne, Bilan assisté par les tests morpho-sensibles”, Pierre Tür

“L’homme superlumineux”, Pr Régis Dutheil, Brigitte Dutheil, ed. Sand